C'est un regard émerveillé sur ce que ce félin me donne où c'est un regard ébloui sur ce que la vitre m'imprime...Le félin est celui qui a le regard ébloui de clartés où derrière une vitre,ce n'est pas un spectacle,le regard ébloui y devient aveugle et ne voit plus que la beauté de ce monde animal...Et mon oeil voit,ébloui par ces brillants mystères,le regard ébloui du félin où en franchissant la vitre,le félin baisse son regard ébloui de l'éclat des vitres étrangers...Combien un regard fugitif et passager où l'homme,au milieu de l'immensité du monde animal,s'attache souvent au regard merveilleux de l'animal...Au regard de la structure de ce monde animal,l'Angevine peut vivre sans tuer ni animal et se nourrir du végétal,la vie de certains animaux comprenne mon regard et l'accueille chez eux,dans leur nature,dans leur structure végétale...Il y a de la lumière dans le regard du félin où fusionne en lui,le regard du contemplateur et ce que le regard contemple,c'est cette lumière dans le regard du félin...De son regard ensorcelant,le félin vient vers l'Angevine d'un regard qui éblouit mes yeux,comme si l'Angevine était aveugle et voyait toute beauté à l'intérieure des pensées...Yeux de lumière où yeux de soleil,cette lumière aveuglante me fait voir à mes yeux endormis tous les éclats de feu et les inonderaient d'une lumière aveuglante...Ayant bien des jambes et vous des yeux,nous nous transportons vers les yeux du félin qui nous éblouissent vers une démarche spectatrice à travers la vitre...La traversée du verre représente celle de l'ouverture vers le regard du félin où la vitre renvoie l'image aveuglante des yeux brisés...Les silhouettes qui se massent à la vitre où spectatrice,l'Angevine met l'oeil objectif d'éclairer la pensée animale derrière cette vitre qui ébloui ma pensée vers un regard aveuglant...Depuis la série,l'homme et l'animal font bon ménage à la ménagerie de Paris.