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Vers le reflet de l'existence
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L'Angevine ne veut que fermer les yeux à cette réalité où yeux à poing fermé,l'Angevine sent la tristesse...Avec ce regard,il trouva la force de frapper mon regard à son poing fermé...Plus qu'un être en larme où à poings fermés,l'Angevine peut le toucher et sentir sa tristesse même en fermant les yeux...Touchant son regard,notre tristesse est fermé dans notre coeur...Ma triste main pour soutenir la sienne,son triste coeur pour écouter le mien,le coeur a besoin de d'épancher dans la douleur ensevelie dans le silence...Mon coeur palpite sous ce regard où ses yeux me donnent la force de laisser ouvrir mes yeux en ne lui fermant pas ma main et lui ouvrant mon coeur derrière cette vitre...Et de là,derrière cette paroi vitrée,son regard pénètre mon coeur...Depuis la série,l'homme et l'animal font bon ménage à la ménagerie de Paris.
Dans les rues,je vais à la recherche du positif dans notre esprit et c’est avec cet état d’esprit ouvert que notre oeil capte cette sensibilité,des émotions et des sensations,il y a toujours des indicateurs ou éléments qui désignent une existence dans mes recherches,je marche vers le reflet de l’existence artistique…Travaillant avec les couleurs de la vie pour apporter de la joie et mettre en valeur le côté positif,je donne un mouvement énergétique dans tous les sens avec cette lumière…Dans mes recherches,on entre dans la réalité où l’imaginaire est dans le sens de l’esprit…On crée son propre tableau de la vie quelque soit de douleur ou de joie…Dans toutes mes recherches,il y a ma nature humaine qui décrit l’émerveillement,l’enchantement de marcher,le goût téméraire des défis…Mes compositions sont liées aux couleurs de la spiritualité avec une pensée philosophique…
@Roger Dekert: J'ai vraiment ressenti cette tristesse et c'est ce sujet que j'ai traité et capté avec son regard ,et cette main qui m'a accrochée et je n'avais qu'une envie de la prendre ,et de l'emmener avec moi dehors,dans la nature...Je ne peux pas vivre enfermée pendant des jours donc je l'imagine pendant des années là à nous regarder...C'est nous finalement qui font des pitreries et des grimaces lorsqu'on les voit...Cet orang outan m'a vraiment touchée... Amicalement,l'Angevine
